« Le corbeau qui répand la lumière sur le monde » est le dernier « dernier mot » d'Urs Mannhart pour l'École bernoise. À lire absolument ! En alternance avec Michaela Friemel et Dmitrij Gawrisch, il a occupé pendant 8 ans la dernière page de l'École bernoise. Au cours de la nouvelle année, deux autres personnalités écriront pour l'École bernoise.
Le dernier numéro de la revue traite de la journée de la formation, des élections de 2026, de l'enquête sur l'apprentissage précoce des langues étrangères, de l'engagement des enseignant·es dans les établissements particuliers de la scolarité obligatoire ou encore de l'utilisation des langues rythmiques dans l'enseignement.
Bonne lecture !